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Sommets Europe-Asie :  "ASEM" (Asia Europe Meeting) comprenant les pays de l'Asean, de  l'UE, la Chine, le Japon, et la Corée du Sud


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 UE-SAARC : relations et perspectives


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    Actualités

    L' UE et l'ASEAN enclenchent une "nouvelle dynamique" malgré la Birmanie
       BANGKOK, 26 mai 99(AFP) - L'Union européenne (UE) et les nations du sud-est asiatique (ASEAN) ont mis de côté leurs divergences sur la Birmanie pour enclencher une "nouvelle dynamique" après une longue interruption de dialogue.   Les deux blocs ont appelé mercredi à Bangkok à un "dialogue plus profond" à l'occasion d'une Commission mixte de coopération (JCC), leur
    premier contact officiel depuis près de deux ans, a-t-on indiqué de source européenne.   Du côté asiatique, la réunion, d'ordre technique, a été qualifiée de "grand succès" qui ouvre la voie à une nouvelle coopération dans les domaines de l'environnement et de la lutte anti-drogue.    La commission mixte avait été ajournée à plusieurs reprises en raison de désaccords sur la présence de délégués de la junte birmane.   Aux termes d'un "compromis", les représentants birmans ont pu assister à la rencontre, comme le demandait l'ASEAN, mais "passivement", c'est-à-dire sans y prendre la parole publiquement.   L'UE avait insisté sur le caractère "technique" de la réunion de Bangkok, en déplorant que le dialogue politique, lui, soit toujours "au point mort".   Les Quinze ont répété que leur position "commune" restait ferme sur la question des droits de l'Homme en Birmanie.   "Notre camp ne voit pas d'amélioration suffisante dans la situation en Birmanie" qui puisse laisser entrevoir une reprise du dialogue politique, a affirmé Emiliano Fossati, directeur de l'UE pour l'Asie du sud et du sud-est.   Depuis octobre 1996, les Quinze interdisent l'entrée de leur
    territoire aux membres de la junte et aux cadres birmans, et ont bloqué tout contact ministériel.   L'UE considérait toutefois que ses relations "au niveau technique" avec l'ASEAN --le premier bloc commercial d'Asie-- ne pouvaient rester "otages" du problème politique birman.   L'UE, et plus encore l'ASEAN, plongée dans le marasme depuis l'été 1997, se sont inquiétées de l'absence de contacts officiels qui entravaient leurs relations économiques et politiques depuis des mois.   La prochaine commission mixte aura lieu en Europe a une date non encore fixée.   L'ASEAN regroupe la Birmanie, Brunei, l'Indonésie, le Laos, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Thaïlande, le Vietnam, et depuis le mois dernier le Cambodge, soit les dix pays de la région désormais au complet.

    Tchèques-Asie:Prochaine tournée asiatique du chef de la diplomatie tchèque, Jan Kavan
       PRAGUE, 13 mai 99 (AFP) - Le ministre tchèque des Affaires étrangères, Jan Kavan, quittera samedi Prague pour une tournée d'une dizaine de jours en Asie, pendant laquelle il visitera le Japon, la Corée du Sud, la Chine et la Mongolie, a annoncé jeudi son ministère.    M. Kavan séjournera du 16 au 18 mai au Japon, où il aura notamment des entretiens avec son homologue, Masahiko Komura.   Il s'agira de la première visite au Japon d'un chef de la diplomatie tchèque depuis la création de la République tchèque, issue de la division de l'ex-Tchécoslovaquie, le 1er janvier 1993.   Le ministre tchèque se rendra ensuite, du 18 au 20 mai, en Corée du Sud avant d'effectuer du 20 au 23 mai une visite en Chine, à l'invitation de son homologue chinois, Tang Jiaxuan.
       La Mongolie sera la dernière étape de la tournée asiatique de M.Kavan. En  1993, le gouvernement tchèque avait décidé, pour des raisons financières, de fermer son ambassade à Oulan-Bator.   La réouverture de la mission diplomatique en Mongolie a récemment obtenu le feu vert de l'actuel cabinet social-démocrate.   Lors de sa tournée asiatique, le chef de la diplomatie tchèque sera accompagné d'une quinzaine d'hommes d'affaires, selon le ministère.



    UE-ASEAN Coopération UE-Asean : 20 ans de relations, plus de 42 projets communs 
  • Commission mixte UE-Asean (Bangkok, 25-29/1/99) : participation de la Birmanie suite à un compromis (accord 26/10/98 : le Conseil de l'UE a renforcé les restrictions aux visas accordés aux officiels birmans, maisil a accepté une présence birmane lors de la Commission mixte).  La réunion a été ajournée depuis 1998,  faute d'un accord sur les modalités de la participation birmane (l'UE n'était pas prête à soutenir l'adhésion de la Birmanie à l'accord de coopération UE/Asean pour la dictature birmane avec qui elle refuse tout contact diplomatique). 

  • pays de l'Asean (Bruneï, Birmanie, Indonésie, Laos, Malaisie, Philippines, Singapour, Thailande, Vietnam). La Thailande qui assure la présidence de l'Asean, a proposé une solution pratique : présence uniquement des drapeux "régionaux" (drapeau de l'UE et celui de l'Asean) à la table de discussion avec toutes les parties représentées, placées par ordre alphabétique.
  • Faute de pouvoir proposer un nouvel accord à l'Asean (le Portugal refuse de conclure un accord de 3ème génération avec l'association incluant l'Indonésie tant que la question du Timor ne sera pas réglée), la Commission avait proposé de développer certains aspects de la coopération économique couverts par l'accord de 1980 e de conclure éventuellement des accords sectoriels. La Commission devrait proposer de développer la coopération en matières de normes, de propriété intellectuelle, d'accès aux marchés et de commerce des services.Elle devrait également suggérer la conclusion d'un protocole douanier permettant l'échange d'informations et de fonctionnaires, dans le but d'améliorer les procédures douanières, notamment dans la perspective d'une union douanière Asean. "Autant de projets qui devraient être favorables pour nos exportateurs dans le contexte de la crise" note-t-on du côté européen. (source : Agence Europe 23/12/98)
  • XIIème réunion des ministres des Affaires étrangères  UE/Asean (Singapour, 13-14/2/98) 
  • "UE-Asean partenariat" a réuni des petites et moyennes entreprises à Singapour en novembre 1997. 
  • EU/Asean round table" (1997) 
  • Commission mixte UE-Asean (juillet 1996)
  • XIème réunion des ministres des Affaires étrangères  UE/Asean (Karlsruhe, 22-23/9/94) Déclaration de Karlsruhe en 1994 
  • 11ème Comité mixte de coopération (CMC), Davao les 21 et 22 janvier 1994 : création de cinq sous-comités chargés respectivement du commerce, des sciences et technologies, de la coopération économique et industrielle, des stupéfiants et des forêts afin de dégager des orientations et de renforcer la compréhension mutuelle en vue d'activités concrètes réalisées en coopération.
  • Xème réunion des ministres des Affaires étrangères  UE/Asean (Manille, 29-30/10/92/)
  • Accord UE/Asean conclu en 1980 : promotion des échanges et élimination des obstacles non-tarifaires, promotion des investissements, échanges de personnes, coopération au développement, coopération en matière de science et technologie...Dans le cadre de cet accord, il y a une multitude de groupes de travail, commisions mixtes, groupes ad hoc, réunions ministérielles, groupes des ambassadeurs à Bruxelles, etc... 
  • Références : 

  • Relations entre l'Union européenne et l'ANASE"  (1/2/96)


    EU-OMC (WTO)

  • WTO  review of the Trade Policies of the European Community 
  • WTO Financial Services Agreement, 12/12/1997 1) Key Points2) Country-specific improvement 
  • GATS Info Point : This GATS "Info-Point" is designed to help European service operators to provide their services around the world. It contains a complete guide to the General Agreement on Trade in Services (GATS) - the ultimate guarantee of open services markets, news about world  trade in services, a link to the Market Access Database and a means to inform us of any barriers or restrictions  to trade. 


  • Relations UE-Asie : Risques et opportunités/Investissements

    Table ronde sur les affaires en Asie   European Institute for Asian Studies (EIAS), 1/10/98
    Mr. Willy De Clercq , EC Vice President Brittan, EC Vice President Marin, S.E. Dr. Manfred Scheich*, representative of the EU Council Presidency, S.E.M. Sukhum Rasmidatta, Ambassador of Thailand, Mr. François Périgot, Honorary President of UNICE, Mr. Stephen Pursey, Chief Economist, Int. Confederation of Free Trade Union, Ms. Lotte Leicht Secretary General Human Rights Watch.

    Les investissements en Asie en hausse (La Tribune, 9/9/98) 
    Les investissements des firmes allemandes en Asie ont plus que quadruplé au premier semestre 1998, comparé à  la même période de 1997, malgré la crise, selon un communiqué du ministère allemand de l'Economie. De janvier à  juin, les investissements allemands en Asie se sont élevés à 3,342 milliards de marks, dont la plus grande partie en  Corée du Sud (1,4 milliard de marks). 

    L'Union européenne s'inquiète des menaces russes et japonaises sur la croissance (La Tribune, 16/6/98) 
    Les responsables européens invitent le Japon à accélérer ses réformes mais estiment que la crise asiatique ne
    coûtera que 0,5 point de PIB à l'Europe.  Ils sont par ailleurs d'accord pour faire des « grandes orientations de politique économique » un exercice   contraignant pour chaque membre  de l'UE.
      La Russie et le Japon ont un peu gâché la fête, hier, à Cardiff, où sont réunis jusqu'à ce soir les chefs d'Etat et de gouvernement des  Quinze. Les menaces de grosses turbulences économiques et monétaires que font peser ces deux pays, non seulement sur le reste de la  zone asiatique et sur les pays émergents, mais sur l'ensemble de l'économie mondiale, ont fait passer au second rang la satisfaction  unanime des Quinze devant une Europe qui a, elle, retrouvé le chemin d'une croissance soutenue et créatrice d'emplois. 
      Le communiqué publié hier après-midi par les ministres de l'Economie et des Finances ne revêt, certes, aucun ton alarmiste. Ainsi, à propos  de la Russie, il se borne à saluer les réformes économiques projetées par le gouvernement, en particulier la réforme fiscale et l'amélioration  de la perception des impôts, et à assurer Moscou de l'appui des Quinze, notamment auprès de la Banque mondiale et du Fonds monétaire  international. Il ajoute que ces organisations restent, à leurs yeux, les instruments d'aide les plus adaptés, mais sans rien dire toutefois des  difficultés financières que le FMI pourrait éprouver, compte tenu de la faiblesse de ses réserves, pour intervenir aussi massivement que la  situation de l'économie russe pourrait l'exiger. 
      Un communiqué modéré. Même prudence vis-à-vis de la situation de l'Indonésie et du Japon, pour lequel le terme de récession est ainsi  soigneusement évité. Le texte se limite à considérer que les effets du « paquet » de mesures annoncées par Tokyo sont encore à venir et  que des réformes de structures et des mesures de consolidation du système financier sont nécessaires pour restaurer la confiance du  monde des affaires et des consommateurs. 
      Un communiqué que les grands argentiers des Quinze ont sans doute délibérément voulu modéré pour éviter de jeter de l'huile sur le feu,  mais qui paraît mal traduire les inquiétudes assez fortes exprimées par plusieurs chefs d'Etat et de gouvernement au cours de la matinée.  Ainsi, s'exprimant au nom de la France, le Premier ministre a parlé des « risques de la situation japonaise » et estimé que les Quinze  devaient « rapidement prendre [leur] mesure et réfléchir collectivement aux réponses à leur apporter ». 
      L'hôte de la rencontre, Tony Blair, avait lui-même ouvert le débat en notant que la situation russe et japonaise constituait « un risque  majeur pour l'économie européenne, l'un des plus importants depuis les deux dernières décennies ». Selon le commissaire Yves-Thibault de  Silguy, l'impact de ces éventuelles turbulences devrait néanmoins être « limité » car les prévisions faites pour l'évolution des économies  européennes en 1998 avaient déjà intégré de tels aléas. Le ministre belge Philippe Maystadt a laissé entendre que l'«effet asiatique » ne   devrait pas excéder, selon les simulations de la Commission, un demi-point de PIB. 
      « Zone de croissance durable ». Les « Conclusions » du sommet européen devraient, aujourd'hui, revenir sur ce dossier, mais relever aussi  que les chefs d'Etat et de gouvernement sont unanimement convenus qu'à l'avenir les « grandes orientations de politique économique »  (Gode) soumises à leur approbation devront être rédigées de manière à constituer pour l'Union et chacun de ses membres un tableau de  marche précis et contraignant. Dans le même esprit, le Conseil européen a demandé que désormais les Gode et les plans d'action nationale  en faveur de l'emploi soient débattus et arrêtés en même temps et de préférence, au début de l'été pour être valablement pris en compte  dans la préparation des budgets nationaux de l'année suivante. Il y va, ont tous souligné les participants du Sommet, de l'efficacité d'une  coordination économique accrue et, comme l'a fait valoir Lionel Jospin, de la capacité des Quinze à faire de l'Union une « zone de  croissance durable ». 

    Crise financière en Asie et ses conséquences : Intervention devant le Parlement européen du commissaire aux Affaires économiques et financières, Yves-Thibault de Silguy (Strasbourg, 28/1/98) mae5-010398

    Allemagne-Asie

    La crise asiatique fera reculer les exportations allemandes de 20 %  (La Tribune, 24/9/98) 
    La crise asiatique va réduire les exportations allemandes dans cette région d'un « bon cinquième » cette année, estime l'institut  économique de Berlin (DIW) dans un rapport publié hier. Outre ses effets directs, la crise va de plus faire fléchir indirectement les  exportations allemandes en pesant sur la croissance des pays industrialisés partenaires de la RFA. Le recul des exportations vers l'Asie ne  sera pas compensé par une poussée des exportations vers d'autres zones, insiste l'institut réputé pour le pessimisme de ses prévisions.  L'offensive à l'exportation lancée par le Japon et la Thaïlande aux Etats-Unis ainsi que dans l'Union européenne au premier semestre 1998  constitue de ce point de vue un signal clair, souligne-t-il. 

    Mise à jour :  octobre  1998
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